Quand l’humanisme fera-t-il le buzz ? Jamais…

Quand l’humanisme fera-t-il le buzz ? Jamais…

L’humanisme s’appuie sur une conscience personnelle et collective qui donne la priorité à tout ce qui fait la dignité de l’homme et qui combat tout ce qui y porte atteinte. Et le plus souvent cela n’a rien de spectaculaire, de nouveau, d’exotique, d’étonnant. C’est le combat millénaire sans cesse renouvelé, sans cesse redécouvert pour que l’homme se comporte en humain. Rien de nouveau sous le soleil ! En revanche il faut s’y atteler chaque jour.

Baignade dans un univers de likes

Baignade dans un univers de likes

Le buzz s’est imposé comme un phénomène incontournable : tout ce qui accroche l’attention file de main en main, se propageant en un éclair à travers les écrans. Mais cette viralité fulgurante, en bousculant notre façon de penser et de nous informer, n’est pas sans conséquences troublantes. Les médias, d’abord porteurs de récits et de faits, semblent désormais tourner le projecteur sur eux-mêmes : ce n’est plus tant le contenu qui importe, mais l’effet de sa diffusion.

Vivre l’incertitude

Vivre l’incertitude

En mission cette semaine sur Bordeaux, je me suis posé la question suivante :  « Comment l’incertitude est-elle vécue par un vigneron ? »

La connaissance de l’incertitude

La connaissance de l’incertitude

L’incertitude est partie prenante du fonctionnement biologique et même de celui de notre monde puisque, dès le niveau atomique, la physique quantique nous a appris que la position même d’un électron n’est pas certaine, seulement approchée par des lois de probabilité.

Sans incertitude, pas de liberté.

Sans incertitude, pas de liberté.

L’incertitude est d’abord la caractéristique du vivant. Pas d’incertitude dans une machine, si sophistiquée soit-elle. Des pannes, de l’usure, des défauts, un mésusage, un résultat non conforme aux attentes, mais pas d’incertitude. Pas d’incertitude après la mort non plus. C’est car nous sommes en vie que des choses sont incertaines.